Sábado 18 de Mayo en San Cristóbal


Bono de colaboración desde 10 $ en: Asogata, 
Escuela Taurina César Faraco: Plaza Monumental, Pueblo Nuevo  
Restaurante Miura: Calle 18 con carr. 20, San Cristóbal 
Contacto: 0412 658 4112

22/9/15

La crónica francesa del triunfo de Manolo Vanegas

Así reseñó un medio francés el triunfo del venezolano. Foto: ladepeche.fr

* Video resumen del festjo por Yves Pétriat.

por: César Omaña
Director de venezuelataurina.com


A falta de crónica en portales y webs españolas sobre el triunfo de Manolo Vanegas el pasado domingo 20/9 en Vic Fezensac (Francia), nos dimos a la tarea de investigar en webs francesas encontrando en la web feria.tv una nota detallada del festejo con su respectivo resumen en video los cuales presentamos a su consideración parq hacernos una idea de cómo vieron a Manolo Vanegas.



Estocada sin puntilla de Vanegas al novillo que le cortó la única oreja de la corrida.

**** Esta es la crónica en francés de la novillada - por: Pierre Vidal



Manolo Vanegas con la oreja solitaria de Vic-Fezensac Foto: es.feria.tv

Vic-Fezensac. Un quart d’arène. Six novillos des frères Garnier très bien présentés, dans le type Saltillo, sauf le premier plus Santa Coloma. Le cinquième Albadero n° 8, a fait une vuelta, ce fut le plus complet d'un lot âpre qui a pris 21 piques au total souvent dans un bon style en partant de loin, mais qui s'est avisé par la suite, faisant preuve de genio et de sentido.

Le Vénézuélien Manolo Vanegas : salut et une oreille.

Le Colombien Guillermo Valencia : silence et tour de piste.

Le Péruvien Joaquín Galdos: pitos et silence.

Les responsables du Club Taurin Vicois ont pris leur décision samedi à 16 heures: le lot de novillos de Hoyo de la Gitana présentait une boiterie trop forte pour fouler la piste vicoise. Dommage pour les aficionados qui attendaient beaucoup de ce fer mythique. Les Vicois se sont retournés vers des éleveurs français, les frères Granier présents quatre ans plus tôt avec un certain succès. L'avantage était de rester dans la même origine, de présenter un ensemble digne de la cité gersoise et donner une nouvelle opportunité à un des rares éleveurs Français à rester fidèle à un encaste. Les toreros jouèrent le jeu et acceptèrent ce changement de dernière minute.

Le lot de Granier, de présentation splendide, se montra solide, spectaculaire à la pique, mais les choses se compliquèrent par la suite. Les trois premiers, de sérieux clients, développèrent un fort instinct défensif; ajustant leur coup; humiliant peu; souvent distraits et partant aux planches. Bref, ils donnèrent du fil à retordre aux novilleros. Les trois suivants, toujours attrayants au premier tiers, se laissèrent un peu plus faire par la suite. Le quatrième se montra le plus complet. Il prit quatre piques et Gabin Rehabi se fit applaudir dans un tiers remarquable. Abordable par la suite, il fit une vuelta très applaudie.

Manuel Vanegas se montra le plus avisé dans ces situations risquées. Il tua ses deux adversaires de deux estoconazos. Sa seconde faena, justement primée, fut instrumentée exclusivement de la gauche, le côté le plus aimable de l'adversaire. Il joignait ainsi l'intelligence tactique et le courage. Du courage, Guillermo Valencia n'en manque pas, pas plus que de générosité, mais il ne maîtrise pas son sujet comme le jeune Vénézuélien qui le précédait.

Reseña de Pierre Vidal.
Reportage vidéo d'Yves Pétriat.



***** TRADUCCION AL ESPAÑOL DE LA CRONICA FRANCESA (Traductor de Google)

Vic-Fezensac. Un cuarto de la arena. Seis novillos hermanos Garnier muy bien presentados en el tipo Saltillo, a excepción del primero sobre Santa Coloma. El quinto Albadero No. 8, hizo una vuelta, que era el más completo de un montón amarga que tuvo 21 espadas en total en buen estilo a menudo a partir de una distancia, pero eso fue notificado posteriormente hacer prueba de genio y SENTIDO.

El Manolo Vanegas Venezuela: la salvación y una oreja.

El colombiano Guillermo Valencia: silencio y vuelta.

Joaquín Galdós peruanos: pitos y silencio.

Funcionarios del Club Taurino Vicois tomó su decisión 16 horas Sábado: novillos montón de Hoyo de la Gitana tenía demasiado a pisar la pista vicoise cojera. Lástima para los fans que esperaban mucho de este legendario hierro. Los Vicois han recurrido a los criadores franceses, hermanos Granier presentes hace cuatro años con cierto éxito. La ventaja era permanecer en el mismo origen, presentar un conjunto digno de la ciudad Gers y una nueva oportunidad para dar uno de los pocos criadores franceses a permanecer fieles a un encaste. Los toreros jugaron el juego y aceptaron el cambio de última hora.

El lote Granier, espléndida presentación, mostró sólido, espectacular lucio, pero las cosas se ponen peor después. Los tres primeros, clientes serios, desarrollaron un fuerte instinto de defensa; ajustando su tiro; poco humillante; menudo distraído y por lo tanto las tablas. En resumen, ellos dieron un tiempo difícil de novilleros. Los tres, sigue siendo atractivo en el primer período, se dejaron un poco más para hacer a continuación. El cuarto era tan completa. Tomó cuatro palas y Rehabi Gabin convirtió aplaudiendo en un tercer notable. Accesible a partir de entonces, hizo una vuelta muy aclamado.

Manuel Vanegas fue como se aconseja en estas situaciones de riesgo. Él mató a sus dos oponentes dos estoconazos. Su segunda faena, sólo ganar, se instrumentó exclusivamente de la izquierda, el lado más amable de la oponente. Él por lo tanto se unió a la inteligencia y valor táctico. Coraje, Guillermo Valencia no te pierdas nada más que generoso, pero no domina su tema como el joven venezolano que le precedió.

Reseña Pierre Vidal.

Vídeo reportaje Yves Pétriat.




**** Video Resumen del festejo por: es.feria.tv *****








**** CRONICA FRANCESA DE ladepeche.fr


Toros : à Vic, des Granier solides et compliqués

Publié le 21/09/2015 à 03:53, Mis à jour le 21/09/2015 à 08:04
Tauromachie
Manuel Vanegas toréant a coupé une oreille./ Photo DDM, J.-M. D.

Et finalement, ces novillos de frères Granier… Plutôt bien, surprenants et agréables ! Pour celui qui aime le toro de combat, que reprocher à ce lot qui a supporté brillamment vingt piques, avec certaines d'anthologie, chargé de loin avec un galop surprenant. C'est ce comportement qui vaut au cinquième d'être récompensé d'une vuelta. Une récompense que pouvait obtenir le deuxième avec une présentation et une façon de se défendre semblable. Une novillada qui par moments prenait des aspects de course à l'ancienne avec le crayon de Goya qui flottait au-dessus de l'arène, avec ces robes typiquement Santa Coloma. Pour les trois novilleros, ce fut souvent un enfer. En effet, passé le tercio de pique, ils se sont retrouvés face à des adversaires animés, le plus souvent, d'une mauvaise caste, «mala casta», évidente, poursuivant pour tuer, s'arrêtant brusquement en cours de passe et jouant de la tête comme de vrais spadassins. Par moments, il valait mieux rompre le combat, comme le fit rapidement Joaquim Galdos avec son premier novillo.

Une course difficile et compliquée où seul Manuel Vanegas est parvenu à couper une oreille. Certes, il a su profiter du quatrième, le moins agressif et le plus apte à suivre la muleta. Un petit moral par rapport au reste du lot, mais une présence suffisante pour que le jeune Vénézuélien dessine surla main gauche deux ou trois séries, très lente temple et avec beaucoup d'harmonie. Son coup d'épée, surprenant de puissance et de précision, lui vaut un trophée. Pourtant, dans un maniement de l'acier aussi spectaculaire, Guillermo Valencia devra se contenter d'une vuelta. Mal servi par le sort, ou en dessous de ses adversaires…

Il y a surtout de la malchance pour Joaquim Galdos dont le premier, assassin en puissance est totalement imprévisible et rapidement intoréable, l'obligeant à prendre l'épée sans perdre de temps. Il a bien tenté de se racheter pour terminer la course mais ce n'était pas son répertoire habituel et sa série de naturelle avait plus d'aspects de combat que de moments artistiques.

Les toros des frères Granier se sont invités au dernier moment devant une attaque de faiblesse et de boiterie dont ont été victimes les Hoyo de la Gitana. Ce n'est que contraint et avec regrets que le Club taurin de Vic a été obligé à cette substitution. Mais côté toro de combat, on a retrouvé les difficultés inhérentes à Vic. Une course de légende, sûrement pas, mais on se souviendra longtemps des vingt piques, solides et braves, observées au cours d'une novillada.

A Vic-Fezensac. Un petit quart d'arène, soleil brûlant, deux heures trente de spectacle. Six novillos des frères Granier «La Cruz», en remplacement d'un lot de Hoyo de la Gitana qui s'est avéré intoréable pour boiterie. De deux à quatre piques, deuxième, cinquième et sixième, trois châtiments pour le premier et quatrième, deux pour le troisième. Au total vingt piques, toutes ou presque prises avec bravoure. Compliqués et dangereux à la muleta.

Manuel Vanegas (vert bouteille et or), au premier, une entière, deux descabellos, applaudissements et salut ; au quatrième, une entière, une oreille.

Guillermo Valencia (moutarde et or), au deuxième, une entière, une demie, trois-quarts de lame, un descabello, avis, silence ; au cinquième, une entière foudroyante, vuelta.

Joaquim Galdos (rose et or), au troisième, un quart de lame, silence ; au dernier, un pinchazo, trois-quart de lame, silence.

Jean-Michel Dussol


***** Traduccion al español
Toros: Vic, sólidos y complicada Granier

Publicado el 09/21/2015 a las 3:53, actualizado 09/21/2015 a las 08:04
Las corridas de toros
Manuel Vanegas toréant cortó una oreja. / Foto DDM, J.-MD

Y, por último, estos hermanos novillos Granier ... Bastante bueno, sorprendentes y divertidas! Para aquellos que gustan de combate toro que critican este lote que brillantemente apoyó veinte picas, con un poco de antología, cargada de distancia con un galope sorprendente. Es este comportamiento, que es el quinto para la adjudicación de vuelta. Una recompensa que podría conseguir el segundo con una presentación y una manera de defender la misma. Una novillada que a veces asumió los viejos aspectos de carreras con Goya lápiz que flotan sobre la arena con estos vestidos típicos de Santa Coloma. Para los tres novilleros, a menudo era un infierno. De hecho, más allá del tercio de picnic, se vieron enfrentados a oponentes animados, más a menudo de mala casta, "casta mala" obvia, sin dejar de matar, detener bruscamente durante los pases y jugando cabeza como matones reales. A veces, lo mejor era romper la lucha, tan pronto Joaquim Galdós hizo su primer novillo.

Una carrera difícil y complicado en el que sólo Manuel Vanegas fue capaz de cortar una oreja. Es cierto que se aprovechó de la cuarta, menos agresivos y más propensos a seguir la muleta. Un poco de moral que el resto del lote, pero lo suficiente presencia al joven venezolano empates Surla mano izquierda dos o tres series, muy despacio y con gran templo de armonía. Su espada, sorprendente potencia y precisión, vale la pena un trofeo. Sin embargo, en un espectacular manejo del acero, Guillermo Valencia tendrá que conformarse con una vuelta. Mal servido por sorteo, o por debajo de sus oponentes ...

Hay sobre todo la mala suerte de Joaquim Galdós cuyo primer potencial asesino es totalmente impredecible y rápidamente intoréable, lo que le obligó a tomar la espada sin perder tiempo. Él ha tratado de redimirse de terminar la carrera, pero no fue su repertorio habitual y serie natural tenido más aspectos de combate de épocas artísticas.

Los toros de hermanos Granier están invitados en el último momento antes de un ataque débil y la cojera que sufre el Hoyo de la Gitana. Sólo se vio obligado, y lamenta que el Club Taurino de Vic se vio obligado a esta sustitución. Pero luchando codo toro, encontramos las dificultades inherentes a Vic. Una carrera legendaria, seguramente no, pero vamos a recordar siempre los veinte picas, fuertes y valientes, observados durante una novillada.

A Vic-Fezensac. Una cuarta parte de una arena, sol ardiente, dos y media espectáculo. Seis de novillos Granier hermanos "La Cruz" para sustituir una gran cantidad de Hoyo de la Gitana, que resultó intoréable de cojera. De dos a cuatro espadas, segundo, quinto y sexto, tres penales en el primer y cuarto, dos en el tercero. En total, veinte picas, todos o casi valentía tomada. Complicado y peligroso para la muleta.

Manuel Vanegas (verde botella y oro), en primer lugar, un conjunto de dos descabellos, aplausos y la salvación; la cuarta, en su conjunto, una oreja.

Guillermo Valencia (mostaza y oro), el segundo, un plato entero, medio, tres cuartos, un descabello, la opinión, el silencio quinto, todo un relámpago, vuelta.

Joaquim Galdós (rosa y oro), el tercero, cuarto silencio cuchilla por fin, un pinchazo, tres cuartos de la placa, el silencio.

Jean-Michel Dussol

No hay comentarios.:

Publicar un comentario

Related Posts Plugin for WordPress, Blogger...

Artículos anteriores